Octobre 1995 — Tous les espoirs, tous les chagrins

Le référendum de 1995 hante la mémoire collective des Québécois. Ceux qui l’ont vécu en ont un souvenir vif, tantôt douloureux, tantôt grisant. Ceux qui n’avaient pas encore le droit de vote ou qui sont nés depuis sentent qu’ils ont manqué le dernier moment fort de notre histoire. Tous s’interrogent encore sur les dessous de cette étonnante campagne référendaire et se demandent ce qui se serait passé, vraiment, si le OUI l’avait emporté.  Jean-François Lisée est idéalement placé pour offrir des réponses. Conseiller de Jacques Parizeau, il fut l’un des acteurs principaux de ces événements. Analyste chevronné, il sait puiser aux meilleures sources pour éclairer les zones d’ombre, y compris celles de la campagne du NON.
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Le référendum de 1995 hante la mémoire collective des Québécois. Ceux qui l’ont vécu en ont un souvenir vif, tantôt douloureux, tantôt grisant. Ceux qui n’avaient pas encore le droit de vote ou qui sont nés depuis sentent qu’ils ont manqué le dernier moment fort de notre histoire. Tous s’interrogent encore sur les dessous de cette étonnante campagne référendaire et se demandent ce qui se serait passé, vraiment, si le OUI l’avait emporté.

Jean-François Lisée est idéalement placé pour offrir des réponses. Conseiller de Jacques Parizeau, il fut l’un des acteurs principaux de ces événements. Analyste chevronné, il sait puiser aux meilleures sources pour éclairer les zones d’ombre, y compris celles de la campagne du NON.

Dans cet ouvrage, il met à jour les témoignages, recherches et analyses les plus pertinents qu’il a produits depuis vingt ans pour comprendre les dessous d’octobre 1995 et tirer des leçons pour la prochaine fois.

Il saisit aussi l’occasion de rendre hommage à M. Parizeau, sans qui il n’y aurait rien à célébrer, à souligner, à regretter, vingt ans après.

Extrait:

Jacques Parizeau avait l’assurance et l’audace qu’il fallait pour faire lever de terre les grands instruments de développement économique de la Révolution tranquille. Il avait la confiance qu’il fallait envers les siens pour les initier, à l’aube des années 1980, à la Bourse grâce au Régime d’épargne-actions, qui allait transformer les moyennes entreprises québécoises en géants mondiaux. Ce fut pour lui une grande fierté, dix ans plus tard, de constater qu’on désignait spontanément le lieu où se brassent les affaires à Montréal la « rue Saint-Jacques » plutôt que la rue « St. James ». Beaucoup plus qu’un symbole, c’était le marqueur d’une transformation dont il avait été l’architecte.

Ayant ainsi façonné l’histoire économique et participé à l’échec du référendum de 1980, Jacques Parizeau quitte Lévesque en 1984 puis prend le gouvernail du Parti québécois en 1988, avec la ferme intention de parler de souveraineté « avant, pendant et après les élections ».

On peut feuilleter quelques pages du livre ici

Octobre 1995 — Tous les espoirs, tous les chagrins

Publié en 2015

208 pages

ISBN : 9782764430408

Prix : 19,95 $

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